Bruno est gérant de l’entreprise One’s Trip et ancien maître d’apprentissage de Fanny, aujourd’hui sa salariée.

Ils sont tous les deux menuisiers de formation et, au quotidien, ils mettent leurs compétences du travail du bois au service de la construction d’habitats légers, roulottes, cabanes, tiny houses, etc.

Pourquoi et comment avez-vous décidé de vous former au métier de menuisier ? 

Fanny

En tout, j’ai fait quatre ans chez les Compagnons du Devoir en apprentissage, donc j’ai fait deux ans en CAP à Marseille, toujours chez les Compagnons du Devoir et un brevet professionnel à l’Argentière-la-Bessée, en alternance. Pour moi, la menuiserie, c’est une évidence, cela a toujours été une passion. J’ai toujours aimé bricoler, j’ai toujours été créative.  En parallèle de chez One’s Trip, je suis auto-entrepreneure depuis quatre ans. Cela me permet vraiment de développer ma créativité et de pouvoir imaginer des objets comme je le souhaite.

Bruno

Alors la menuiserie, pour moi, c’est une reconversion professionnelle que j’ai effectuée à 40 ans environ après avoir été longtemps éducateur spécialisé. 

Pensez-vous que l’apprentissage est un bon moyen pour se former à ce métier ? 

Bruno

Former des jeunes, pour moi, c’est quelque chose de naturel. Ce qui était très intéressant chez Fanny, et puis c’est un peu ce que l’on recherche lorsque l’on prend un apprenti, c’est qu’elle est passionnée, elle est hyper motivée. Et cela, c’est une qualité primordiale.

Fanny

Je pense que l’apprentissage, c’est en effet un excellent moyen de passer de l’école au monde du travail. Ce qui me plaît dans mon métier et la fabrication de roulottes, c’est que, tous les jours, c’est différent. Hier, j’ai posé du parquet et aujourd’hui, je m’attaque aux cloisons intérieures.

Il ne faut vraiment pas hésiter à se lancer dans l’alternance. Non seulement c’est top mais, en plus, cela ouvre tellement de possibilités !

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Tiny house : quand les constructeurs bois travaillent à domicile !
Gaëtan – Chef d’entreprise
Voir le témoignage
Un métier utile et concret
Alexis – Charpentier métallique
Voir le témoignage
Un métier au service de tous
Yohan – Travaux publics
Voir le témoignage

Gaëtan est ingénieur de formation. À la sortie de l’école, il s’est rendu compte qu’il ne souhaitait pas effectuer que des missions de conception.

Il a donc décidé de se former chez les Compagnons du Devoir au métier de constructeur bois via un titre professionnel Monteur en ossature bois. Aujourd’hui, il est pleinement épanoui dans son quotidien de chef d’entreprise, à la croisée entre ses missions managériales et son travail du bois en atelier.

Pourquoi et comment as-tu décidé de te former au métier de constructeur bois ? 

En sortant de l’école, je me suis rendu compte que cela n’allait pas me suffire au quotidien de ne faire que de la conception. Alors, j’ai suivi une formation : un titre professionnel Monteur en ossature bois. 

Qu’est-ce qui t’a plu dans les tiny houses, et comment as-tu eu l’idée de développer ton entreprise ? 

Après cette formation chez les Compagnons du Devoir, on m’a parlé, tout à fait par hasard, des tiny houses, ce sont des petites maisons à ossature bois. Ce qui m’a attiré là-dedans, c’est le côté pluridisciplinaire. Je me suis dit, mais c’est génial, finalement, il y a tous les corps de métiers dans une petite structure remplie de défis techniques.

Qu’est-ce qui te plaît dans tes missions de chef d’entreprise ? 

J’ajoute aux défis techniques que je dois relever lors de la conception et la réalisation des tiny houses des défis autres en tant que chef d’entreprise. Et cela, c’est quelque chose à laquelle je n’étais pas forcément préparé. Finalement, cela vient encore nourrir davantage ma pratique du métier. 

Au final, mon quotidien, c’est autant le bureau d’études que l’atelier. 

Qu’est-ce qui fait le caractère unique de ton métier ? 

Le fait d’être capable de fabriquer des maisons entièrement en atelier, pour moi, c’est un énorme avantage. Tout est installé, les outils sont rangés à leur place, il n’y en a pas un que l’on a oublié d’emporter avec nous et qui était indispensable à la journée. On travaille dans de très bonnes conditions. 

On partage l’atelier avec une entreprise de fabrication de roulottes. Cela nous a permis d’avoir accès à un atelier de 400 mètres carrés. C’est vraiment un terreau hyper fertile de création. 

Que dirais-tu aux jeunes pour les convaincre de se lancer dans l’artisanat et plus spécifiquement dans un métier du bâtiment ? 

Je n’avais pas une très bonne connaissance du milieu de l’artisanat et au final, j’ai découvert un monde fascinant.  Je ne regrette pas d’avoir fait cette reconversion-là, un petit peu par hasard, finalement. Aujourd’hui, je m’épanouis pleinement dans mon métier, je le trouve hyper créatif, rempli de défis et je ne peux qu’encourager ceux qui souhaitent enrichir ou développer différemment leur carrière à se lancer.

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Menuisier, un métier qui renouvelle l’habitat léger !
Fanny – Menuisière
Voir le témoignage
Un métier utile et concret
Alexis – Charpentier métallique
Voir le témoignage
L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage

Valentin est charpentier. Il a découvert ce métier lors d’une journée portes ouvertes dans son collège. S’engager dans cette voie fut alors pour lui une évidence, lui qui a toujours aimé travailler le bois.

Entre travail du bois en atelier et restauration de monuments historiques, Valentin nous fait découvrir son quotidien.

Comment es-tu devenu charpentier ?

J’ai découvert le métier de charpentier au collège. Lors d’une journée portes ouvertes, des artisans sont venus dans nos classes, j’ai vu le charpentier couvreur et je me suis directement lancé dans cette voie. En formation, j’ai fait un bac pro Charpente. Ensuite, j’ai enchainé sur un CAP Charpente et maintenant, je suis en BP Charpente.

Qu’est-ce qui te plaît dans le métier de charpentier ?

Ce qui me plait dans le métier de charpentier, c’est de travailler le bois. Le bois, c’est une très belle matière. Avec le bois, on peut faire ce que l’on veut, on peut le travailler comme on veut, on fait des trucs uniques.

Sur quel type de chantier interviens-tu avec ton entreprise ? 

On intervient principalement sur des chantiers de rénovation du patrimoine. Nous avons recours à des techniques anciennes, pour essayer de reproduire à l’identique afin que le savoir-faire ne se perde pas. J’en suis fier.

En quoi consiste le chantier sur lequel nous sommes ? 

Nous sommes à Cossé-en-Champagne, en Mayenne, sur un chantier de restauration d’une église. On a commencé par restaurer la charpente et maintenant, nous allons poser le nouveau lambris.

C’est très technique de travailler sur un bâtiment ancien. Il faut que l’assemblage soit parfait. Pour cela, on fait des entures sur les pièces de bois pour bien les assembler tout en conservant un maximum de vieilles pièces de bois.

Là, par exemple, je vais remettre une cheville sur un assemblage ancien parce que la cheville est partie avec le temps.

As-tu déjà participé à des concours ?

J’ai participé deux fois au concours « Un des Meilleurs Apprentis de France ». . Cela m’a permis d’apprendre à me dépasser. C’est une expérience incroyable.

Que dirais-tu aux jeunes qui ont envie de s’orienter vers le métier de charpentier, mais qui hésitent encore ?

Commence par t’informer sur les formations au métier de charpentier dans un centre de formation d’apprentis (CFA), puis va rencontrer les patrons aux alentours de chez toi dans les entreprises.

Et si tu as besoin de confirmer ton choix, fais un stage dans une entreprise de charpente.

ENVIE DE DEVENIR
CHARPENTIER ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier utile et concret
Alexis – Charpentier métallique
Voir le témoignage
L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage
Un métier au service de tous
Yohan – Travaux publics
Voir le témoignage

Léo est électricien, un métier qui le passionne depuis son plus jeune âge. Fort de sa dizaine d’années d’expérience, en 2020, il décide de créer son entreprise.

Ses missions : pose, remplacement et entretien en électricité générale, mais aussi étude, installation et maintenance pour les activités tertiaires et industrielles

Concrètement, en quoi consiste ton chantier ?

Aujourd’hui, nous sommes chez un client, une pépinière que nous avons récupérée en contrat de maintenance.

Ce que je vais faire, c’est que je vais séparer les aérations des serres afin de pouvoir les raccorder sur le nouveau tableau. Dans un premier temps, dans le but de démonter ici l’ancienne installation qui date des années 70. Après avoir testé mes gants de protection et m’assurer qu’ils sont bien isolants, je vais procéder au démontage des plastrons.

Quel a été ton parcours pour exercer le métier d’électricien ?

Plus jeune, mon père, qui était électricien, m’a déjà conduit sur des dépannages lorsqu’il était d’astreinte le week-end. À l’issue du collège, c’est tout naturellement que je me suis dirigé vers ce métier-là lors de mon choix professionnel.

J’ai tout d’abord commencé par un bac pro MELEC, Métiers de l’électricité et de ses environnements connectés. Ensuite, j’ai fait un BTS Électrotechnique. À la suite duquel, j’ai travaillé en tant que câbleur industriel et par la suite seulement, j’ai créé mon entreprise.

Selon toi, pourquoi le métier d’électricien est un métier d’avenir  ?

Pour moi, le métier d’électricien un métier qui évolue sans cesse. Entre le recours à des énergies renouvelables, les nouvelles technologies comme le sans fil ou la radio … le métier d’électricien est vraiment un métier d’avenir.

C’est un métier de passion qui nécessite de continuer à apprendre sans cesse. Tous les dix ans, notre métier est pratiquement réinventé de zéro.

ENVIE DE DEVENIR
ÉLECTRICIEN ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier utile et concret
Alexis – Charpentier métallique
Voir le témoignage
L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage
Un métier au service de tous
Yohan – Travaux publics
Voir le témoignage

Formé chez les Compagnons, Jérôme est un spécialiste du métal !

Après son apprentissage, puis son Tour de France pour parfaire sa formation, Jérôme a été formateur quelques années. Aujourd’hui, à 27 ans, il est à la tête de son entreprise Métallerie de la Belle. Il travaille sur tous types de chantiers, pour des particuliers, des collectivités ou des entreprises. 

Conception, pose et rénovation d’ouvrages métalliques, d’ornements décoratifs en métal, de serrureries, ses missions sont très variées. Dans cette vidéo, il nous fait découvrir son quotidien de serrurier-métallier sur un chantier et dans son atelier.

Comment es-tu devenu serrurier-métallier ?

J’ai fait deux ans d’apprentissage dans une entreprise qui faisait du mobilier de luxe. C’est là que j’ai appris à travailler l’acier et cela m’a plu. Ensuite, j’ai voyagé pendant sept ans avec les Compagnons du Devoir et je me suis formé à toutes les activités du métier. Quand je suis revenu, j’ai fait trois ans en tant que formateur avant de créer mon entreprise.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

Ce que j’aime le plus dans mon métier, c’est de ne pas faire tous les jours la même chose. Un jour on va faire un garde-corps et le lendemain, une porte ou un escalier, c’est tout le temps différent.

Peux-tu nous expliquer ce que tu fais actuellement sur ce chantier ?

J’ai fait ce portail tout en acier avec un double barreaudage pour que les animaux ne passent pas mais aussi du fer cintré pour faire une frise décorative. Il faut également que je décale un peu la serrure parce que les piliers ont dû bouger. 

Quel message aimerais-tu transmettre aux jeunes qui hésitent encore à choisir un métier du bâtiment ? 

L’apprentissage c’est super important pour se former à un métier. Si vous cherchez un métier, essayez, pourquoi pas, celui de la métallerie, peut-être que cela va vous plaire et devenir une passion, comme ce fut le cas pour moi.

ENVIE DE DEVENIR
SERRURIER-METALLIER ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

En peinture, des solutions innovantes pour l’environnement
Pierrick – Peintre décorateur
Voir le témoignage
Des nouveaux challenges au quotidien
Valentin – Électricien
Voir le témoignage
La fierté d’exercer un métier utile à tous
Callum – Monteur de réseaux électriques
Voir le témoignage

Anaïs est peintre décoratrice. Elle a eu un coup de foudre pour ce métier lors de son stage de découverte de troisième.

Elle a choisi de s’y former par la voie de l’apprentissage. Après 10 ans en tant que salariée, à 26 ans, elle a créé son entreprise. Aujourd’hui, elle te fait découvrir un de ses chantiers !

Quel a été ton parcours professionnel ? 

J’ai choisi ce métier, peintre en bâtiment, en troisième, parce que j’avais besoin d’un métier physique, dans lequel je pourrai me dépenser. J’ai alors fait un stage dans une grande entreprise de 60 salariés et participé à la rénovation d’une église. Cela a été le coup de foudre ! J’ai découvert l’ambiance sur le chantier : on n’a pas cette ambiance-là dans d’autres entreprises. 

Après ma troisième, je me suis orientée vers un CAP, qui dure deux ans. Ce qui est bien avec l’apprentissage, c’est que l’on a un pied dans l’entreprise et qu’on peut mettre en pratique ce que l’on apprend à l’école.

Après l’obtention de mon diplôme, je suis restée salariée pendant 10 ans, puis j’ai décidé d’ouvrir mon entreprise il y a deux ans.

Qu’est-ce qui te plaît dans ton métier ? 

Ce qui est bien dans mon métier, c’est que je ne m’ennuie jamais, les missions sont variées, on travaille aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur.  Il y a la préparation : quand on arrive, il faut tout enlever, tout sortir, protéger le sol, mettre des bâches… Ensuite, il y a différents aspects de peintures à appliquer en fonction des situations et des choix des clients tels que le mat, le velours, le satin, ou le brillant… Ce que j’aime aussi, c’est que l’on est le dernier corps de métier à intervenir et quand les clients voient leur maison toute belle, ils se sentent bien et je suis vraiment fière. 

Quel conseil donnerais-tu à une femme qui souhaite travailler dans le BTP ? 

Il ne faut pas avoir peur, en tant que femme, de faire ce métier-là, car les mentalités ont évolué. Franchement, foncez ! Si tu cherches encore ta voie, demande des stages, essaie plusieurs corps de métier, mais essaie, parce que si tu n’essaies pas, tu n’auras rien.

ENVIE DE DEVENIR
PEINTRE DÉCORATEUR ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

En peinture, des solutions innovantes pour l’environnement
Pierrick – Peintre décorateur
Voir le témoignage
L’apprentissage, voie royale pour se former
Antoine – Couvreur
Voir le témoignage
La fierté d’exercer un métier utile à tous
Callum – Monteur de réseaux électriques
Voir le témoignage

Construire et entretenir les réseaux qui distribuent l’eau potable, les eaux usées, les eaux pluviales et le gaz, telles sont les missions du constructeur de réseaux de canalisations.

Passionné depuis toujours par les engins de travaux publics, Thomas, apprenti en CAP, a choisi de s’orienter vers le métier de constructeur de réseaux de canalisations… Dans cette vidéo, il nous emmène à la découverte de son quotidien au sein de l’entreprise Desertot.

Qu’est-ce que tu aimes dans ton métier de canalisateur ?

J’aime bien mon métier parce que l’on est dehors, c’est cool. Cela évite d’être enfermé dans un bureau toute la journée !

Comment es-tu devenu apprenti en travaux publics ?

J’ai toujours été passionné par les engins de travaux publics, c’est comme ça que j’ai eu envie de devenir apprenti. Ma formation en apprentissage dure deux ans. Après, on peut continuer en bac pro pour finir chef de chantier. Mon but, ce serait d’être embauché en CDD ou en CDI dans cette entreprise. 

Sur quel(s) chantier(s) travailles-tu actuellement ?

Hier, j’ai fait un chantier en pleine ville. Aujourd’hui, je suis plutôt en campagne, dans un champ. C’est toujours différent ! 

Quels sont les gestes techniques que tu exécutes ?

Aujourd’hui, je vais utiliser ce qu’on appelle un laser cana. Cela sert à avoir la bonne pente pour les tuyaux. Je dois également bien serrer les boulons pour que les joints soient étanches et qu’il n’y ait pas de fuites. C’est aussi cela l’intérêt de mon apprentissage : hier, je posais des pavés, des dalles, etc. Et aujourd’hui, je pose des tuyaux. Donc j’apprends plusieurs choses.

Quel message souhaites-tu transmettre aux jeunes qui voudraient devenir canalisateur ?

Pour les jeunes qui voudraient faire ce métier ? Honnêtement, c’est super cool. On s’entend bien avec l’équipe. On fait ce qui nous plaît. Et quand il fait beau, c’est vraiment agréable de travailler dehors.

ENVIE DE DEVENIR
CANALISATEUR ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Finir le chantier en beauté
Anaïs – Peintre décoratrice
Voir le témoignage
La passion de son métier
Dinis – Menuisier aluminium-verre
Voir le témoignage
La fierté d’exercer un métier utile à tous
Callum – Monteur de réseaux électriques
Voir le témoignage

Sébastien est installateur thermique et à moins de 30 ans, il a créé son entreprise dans le bâtiment et emploie plusieurs salariés…

Au quotidien, il installe et dépanne des systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation. Son parcours montre que les métiers de la construction offrent de nombreuses perspectives de carrière et opportunités professionnelles !

En quoi consiste le métier d’installateur thermique ?

Nous installons et dépannons tout type de système de chauffage, de ventilation ou de climatisation. 

Comment en es-tu venu à travailler dans le bâtiment ? 

À 15 ans, je ne savais pas trop quoi faire. Par le biais de stages, je me suis rendu compte que le bâtiment, c’était quelque chose qui était susceptible de me plaire. Donc, j’ai décidé de partir sur un CAP et au fil du temps, j’ai décidé de tenter l’aventure et de monter ma propre entreprise.

Entrepreneur dans le bâtiment, ça vaut le coup ? 

Dans le monde du bâtiment, tu as beaucoup de perspectives d’évolution et un très grand marché de l’emploi. Si tu es dans des petites structures et que tu as l’envie et le côté entrepreneur au fond de toi, tu peux créer ta propre entreprise et la faire prospérer, la faire évoluer. C’est une belle aventure. 

Peux-tu nous expliquer à quoi servent les gaines que l’on voit actuellement ?

Toutes les gaines en aluminium que tu as pu voir, elles permettent de desservir pièce par pièce la climatisation et de réguler dans chaque pièce une température différente.

À quel(s) moment(s) l’installateur thermique intervient-il sur un chantier ?

Nous intervenons au début, au milieu et à la fin, ce qui permet de voir l’évolution globale du chantier. C’est assez satisfaisant. 

Un dernier message pour les jeunes qui hésitent à se lancer dans le bâtiment ?

Toi qui nous regardes, n’hésite pas à essayer les métiers du bâtiment. Pour moi, c’était un peu par hasard, et cela m’a plu immédiatement. J’ai vu le potentiel qu’il y avait et je suis sûr que ça te plaira à toi aussi.

ENVIE DE DEVENIR
INSTALLATEUR THERMIQUE ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

La passion de son métier
Dinis – Menuisier aluminium-verre
Voir le témoignage
La fierté d’exercer un métier utile à tous
Callum – Monteur de réseaux électriques
Voir le témoignage
L’apprentissage, voie royale pour se former
Antoine – Couvreur
Voir le témoignage

Dinis est apprenti dans le BTP.

S’il aime autant le métier de menuisier aluminium-verre auquel il se forme actuellement, c’est notamment pour sa variété. Portail, fenêtre, escalier : pour lui, exercer ce métier offre chaque jour des défis nouveaux et passionnants. Son projet : reprendre l’entreprise de son père qui est aussi son maître d’apprentissage !

Quelles sont les missions du menuisier aluminium-verre ?

C’est très varié ! Nous faisons beaucoup de rénovations chez les particuliers et travaillons plutôt en intérieur, mais il nous arrive d’être à l’extérieur (pour poser des portails par exemple). Nous allons aussi parfois dans les mairies remplacer des menuiseries. Un jour, on pose une fenêtre, et le jour ou la semaine suivante, un portail sectionnel. Chaque bâtiment a sa particularité et sa difficulté, c’est passionnant. 

Quels sont les équipements de protection (EPI) que tu utilises sur le chantier ?

Les EPI (équipements de protection individuels) sont très importants. Le casque protège la tête, le casque auditif permet de protéger les oreilles du bruit et les lunettes, des étincelles, des poussières, des copeaux d’aluminium lorsque l’on coupe avec la scie circulaire. Enfin, les gants évitent les coupures quand on porte du verre. 

Un message pour celles et ceux qui hésitent à choisir l’apprentissage pour se former à un métier du bâtiment ? 

N’hésitez pas, lancez-vous parce que vous n’avez rien à perdre, vous allez apprendre beaucoup de choses, vous allez créer des liens, c’est juste extraordinaire.

ENVIE DE DEVENIR
MENUISIER-ALUMINIUM VERRE ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

La fierté d’exercer un métier utile à tous
Callum – Monteur de réseaux électriques
Voir le témoignage
L’apprentissage, voie royale pour se former
Antoine – Couvreur
Voir le témoignage
L’envie de transmettre son métier
Benjamin – Maçon
Voir le témoignage

Après une première expérience dans la petite enfance, Justine a fait le choix d’une nouvelle orientation professionnelle dans les métiers de la construction, en se formant par l’apprentissage au métier de carreleur-mosaïste, avec un CAP en un an.

Ce qui lui plaît dans les métiers du bâtiment, c’est que l’on ne se lasse jamais ! Terrasses, salles de bain, cuisines… d’un chantier à l’autre, chaque jour est différent et passionnant.

Quelles sont les missions du carreleur-mosaïste ? 

Dans notre entreprise, nous faisons de la pose de carrelage, de faïence … et ce, surtout chez les particuliers.

Comment es-tu devenue carreleuse-mosaïste ? 

Avant, j’exerçais un tout autre métier. Un jour, j’ai fait de la faïence dans ma salle de bains, et je me suis dit : « Mais pourquoi pas ! » J’ai alors demandé à réaliser un stage dans une entreprise et cela m’a tellement plu que j’ai décidé de m’y former par l’apprentissage. Et aujourd’hui, je travaille toujours dans cette entreprise ! 

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier de carreleur-mosaïste ? 

Ce que j’aime, c’est que ce métier est manuel et physique. Il faut être minutieux, faire les choses bien pour que les clients soient contents. Et puis, on ne se lasse pas parce que, finalement, on pose rarement les mêmes carreaux. C’est vraiment ce qui m’attire dans ce métier. 

Un petit mot pour les jeunes qui ont envie de se former à un métier du bâtiment ?

N’hésitez pas à vous lancer dans l’apprentissage, parce que c’est vraiment un super tremplin pour l’avenir et vous ne manquerez jamais de boulot dans le BTP.

ENVIE DE DEVENIR
CARRELEUR-MOSAÏSTE ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Chef d’entreprise à moins de 30 ans
Sébastien – Installateur thermique
Voir le témoignage
La passion de son métier
Dinis – Menuisier aluminium-verre
Voir le témoignage
La fierté d’exercer un métier utile à tous
Callum – Monteur de réseaux électriques
Voir le témoignage

Antoine a choisi l’apprentissage pour se former au métier de couvreur et alterne donc des périodes en centre de formation des apprentis (CFA) et des périodes en entreprise.

Au CFA, il a un enseignement professionnel mais continue à suivre un enseignement général avec des cours de maths, de français, d’histoire-géographie et même de l’EPS ! 

Il est très content de son choix. L’apprentissage, c’est pour lui la meilleure formation car cela permet d’apprendre « en faisant » !

En quoi consiste ta formation en apprentissage pour devenir couvreur ? 

Au CFA, les formateurs nous apprennent la théorie et la pratique du métier en atelier. On a aussi des matières comme le français, les maths, l’anglais, l’histoire-géographie ou l’EPS avec une section Rugby CAPA. Et il y a des matières qui sont spécifiques au métier, comme le dessin technique et la technologie.

Pour compléter notre apprentissage, on a aussi des formations en sécurité comme la R408 pour le montage d’échafaudages, mais aussi des formations sur le port de charges lourdes et une formation aux premiers secours par exemple.

En entreprise, on est tous les jours avec des professionnels sur le chantier. Grâce à eux, on apprend la pratique. 

Pourquoi as-tu choisi de devenir couvreur ?

J’ai choisi le métier de couvreur parce que lorsque l’on monte sur les toits, on voit des choses que les gens ne voient pas, des paysages magnifiques qui en mettent plein les yeux, et le matin quand on se lève, on a envie d’en voir encore plus. 

Un petit mot pour les jeunes qui veulent découvrir les métiers du bâtiment ? 

Si tu as envie de découvrir un métier du bâtiment, lance-toi, n’hésite pas, c’est en faisant qu’on apprend !

ENVIE DE DEVENIR
COUVREUR ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

L’envie de transmettre son métier
Benjamin – Maçon
Voir le témoignage
Histoire d’une reconversion réussie
Justine – Carreleuse-mosaïste
Voir le témoignage
Chef d’entreprise à moins de 30 ans
Sébastien – Installateur thermique
Voir le témoignage

Benjamin a choisi l’apprentissage pour se former au métier de maçon dès l’âge de 14 ans.

S’il a pu devenir le professionnel accompli qu’il est aujourd’hui, c’est notamment grâce aux rencontres qu’il a faites et au savoir que lui ont transmis ses formateurs et maîtres d’apprentissage.

Pour lui, le bâtiment est une grande famille, où l’on travaille ensemble et où l’on s’enrichit les uns les autres. Aujourd’hui, à seulement 26 ans, c’est lui qui transmet, à son tour, son savoir-faire et sa passion aux plus jeunes.

Pourquoi avoir choisi l’apprentissage pour se former au métier de maçon  ?

J’ai commencé l’apprentissage en maçonnerie à l’âge de 14 ans et c’est quelque chose de motivant, de valorisant parce qu’à la fin du mois, on obtient un salaire alors que l’on se forme. Un apprentissage, quand on est avec de bonnes personnes, c’est vraiment quelque chose d’exceptionnel. 

Peux-tu nous expliquer ce que tu fais actuellement sur ce chantier ? 

Je réalise ici un ragréage mural pour reboucher les aspérités et donner ensuite une finition en fonction de la demande du client. 

Qu’est-ce qui te plaît dans ton métier ? 

Ce qui me plaît dans mon métier de maçon, c’est que chaque jour est une nouvelle aventure, avec des contraintes différentes, des chantiers et des matériaux différents. C’est quelque chose qui évolue sans cesse. Aujourd’hui, des métiers dans lesquels il n’y a pas de routine, dans lesquels on ne va pas faire tout le temps la même chose, il n’y en a pas beaucoup. Je sais que dans la maçonnerie, j’ai trouvé mon bonheur.

Quand on est maçon, on est aussi en relation avec les clients ?

Oui tout à fait, être maçon, c’est aussi savoir conseiller, savoir prendre des décisions, réfléchir, partager avec le client. Pour un client, c’est quand même une aventure, on doit être là pour le guider, pour en parler, pour réfléchir. Tout s’étudie. 

Tu parlais des rencontres que tu as faites lors de ton apprentissage et qui t’ont inspirées. Peux-tu en dire un mot ? 

En effet, j’ai eu la chance de tomber sur des personnes vraiment exceptionnelles qui m’ont formé et qui m’ont montré ce que c’était d’être un homme de métier. Aujourd’hui, je fais la même chose pour les plus jeunes dès que j’en ai l’occasion. 

Quel message aimerais-tu transmettre aux jeunes qui hésitent à se lancer dans les métiers du bâtiment ? 

Si j’ai un petit conseil à vous transmettre : lancez-vous dans la construction. C’est une famille. Les préjugés, c’est terminé. Aujourd’hui, je pense que l’on peut faire de grandes choses dans la construction.

ENVIE DE DEVENIR
MAÇON ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Histoire d’une reconversion réussie
Justine – Carreleuse-mosaïste
Voir le témoignage
Chef d’entreprise à moins de 30 ans
Sébastien – Installateur thermique
Voir le témoignage
La passion de son métier
Dinis – Menuisier aluminium-verre
Voir le témoignage

Après avoir obtenu son bac pro Métiers de l’électricité, Callum a découvert le métier de monteur de réseaux électriques via une mission d’intérim.

Cela lui a plu, il a donc décidé de s’y former par l’apprentissage. À l’issue de sa formation, il a été immédiatement embauché en CDI dans l’entreprise dans laquelle il a été formé.

Aujourd’hui, on le suit sur un chantier pour mieux découvrir son métier.

Quelle formation as-tu suivie pour devenir monteur de réseaux électriques ?

J’ai fait un apprentissage juste après mon bac. L’apprentissage, cela consiste à alterner entre école et entreprise et ce qui est génial, c’est que l’on est payé ! Ensuite, j’ai été embauché et, depuis ce jour, je ne l’ai jamais regretté. 

Haute tension et basse tension : peux-tu nous expliquer exactement ce que cela signifie ?

La haute tension, c’est ce qui est en aérien et en souterrain et cela amène l’électricité jusqu’au poste de transformation. Là, elle est transformée en basse tension et la basse tension, c’est ce qui arrive dans vos prises. 

Quelle est ta mission actuellement sur ce chantier ?

Nous allons remplacer un ancien poste de transformation qui s’appelle un « H61 » et qui est en haut d’un poteau par un poste qui sera au sol. 

Qu’est-ce qui te plaît dans ton métier ? 

Ce que j’aime dans ce métier, c’est le fait de travailler en équipe et la solidarité. Il y a énormément de confiance qui s’installe entre nous. Mais surtout, j’aime me sentir utile, car sans nous, personne n’arriverait à vivre, il n’y aurait pas d’électricité qui arriverait chez les gens. 

Un petit mot pour les jeunes qui hésitent à se lancer dans la construction ?

Quand j’étais en bac pro, je ne savais même pas que ce métier existait. Je me suis lancé et je ne l’ai jamais regretté. Il faut se lancer dans la vie et surtout ne jamais hésiter !

ENVIE DE DEVENIR
MONTEUR DE RÉSEAUX
ÉLÉCTRIQUES ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

L’apprentissage, voie royale pour se former
Antoine – Couvreur
Voir le témoignage
L’envie de transmettre son métier
Benjamin – Maçon
Voir le témoignage
Histoire d’une reconversion réussie
Justine – Carreleuse-mosaïste
Voir le témoignage

Serrurière-métallière, Violette a découvert un métier dans lequel l’innovation offre constamment de nouvelles perspectives !

Du logiciel de dessin aux techniques de découpe, les nouvelles technologies se mettent au service du professionnel. Voir son métier évoluer au quotidien est une source de motivation et de fierté pour Violette !

Quel est ton parcours ?

J’ai commencé par un CAP en apprentissage, donc en alternance, cela a duré deux ans et ensuite, j’ai eu la chance de partir en Angleterre dans le cadre du programme Erasmus +.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier de serrurière-métallière ?

La métallerie, c’est un métier qui est en évolution constante, tant en termes de nouvelles technologies que de l’apport du métier pour l’environnement. Souvent, les deux sont liés, d’ailleurs, les deux se nourrissent et c’est passionnant.

Par exemple concrètement :aujourd’hui, on fabrique des profilés à rupture de pont thermique avec une forme particulière qui va permettre d’empêcher une transmission de chaleur de l’intérieur vers l’extérieur et inversement, ce qui va aider à l’isolation.

 C’est toujours passionnant de voir tout ce qui se passe, tout ce qui se crée. Cela peut être de nouveaux logiciels de dessin pour nous aider à mieux travailler en atelier ou de nouvelles techniques de découpe en atelier qui peuvent grandement faciliter le travail et nous aider à mieux le réaliser.

Que dirais-tu à une femme qui veut rejoindre les métiers de la construction ?

Si je devais parler à une jeune femme qui veut se lancer dans les métiers du bâtiment en s’y formant par l’apprentissage, je lui dirais de foncer, que c’est une super expérience et qu’elle est sûrement plus forte que ce qu’elle pense.

ENVIE DE DEVENIR
SERRURIER-MÉTALLIER ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Tout le monde a sa place
Camille – Charpentière bois
Voir le témoignage
L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage
Des compétitions riches d’expériences
Dimitri – Installateur thermique
Voir le témoignage

La vocation pour les travaux publics, Yohan l’a depuis son plus jeune âge, grâce à son père, professionnel de la construction lui aussi.  Aujourd’hui, il prend le relais, pour sa plus grande satisfaction !

Travailler pour construire le quotidien de chacun, voilà ce qui motive Yohan. Et pour se former, rien de mieux que l’apprentissage pour allier théorie et pratique professionnelle. Dans ce témoignage, il nous ouvre son chantier pour nous faire découvrir son métier !

D’où te vient cet intérêt pour les travaux publics ?

J’en suis arrivé là parce que j’ai grandi là-dedans : mon père est dans les travaux publics depuis plus de 30 ans ! J’ai grandi dans les tractopelles, les mini-pelles avec les collègues de boulot de mon père. Depuis le début de cette année, j’ai décidé de me lancer et j’en suis très content.

Tu nous présentes tes missions et ton chantier ?

Concrètement, on est amené à construire des murs et faire des agrandissements de choses déjà en place. Là, par exemple, on est sur le chantier du Pouzin, en Ardèche, dans le sud de la France. On est en train de monter un mur pour limiter les risques de crue millénale (en gros, l’eau qui monte), et on augmente le mur de 15 à 30 centimètres de haut sur à peu près 1,5 km.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier ?

C’est un travail qui a du sens, il aide les gens dans leur quotidien. Par exemple : on construit les routes que tout le monde emprunte chaque jour pour se rendre au boulot !

Un dernier message pour celles et ceux qui hésitent encore à choisir l’apprentissage pour se former à un métier du BTP ? 

Si vous voulez vous lancer dans le bâtiment ou les travaux publics, faites-le. C’est vraiment une bonne expérience. Personnellement, j’en suis très content. Et l’apprentissage, ce ne sera que du bon pour vous en termes d’expérience professionnelle. Ce sont les premiers sous et cela change de la voie générale parce que vous avez vraiment des notions clés qui vont vous servir concrètement, sur le terrain, et qui sont là pour vous aider.

ENVIE DE TRAVAILLER
DANS LES TRAVAUX PUBLICS ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Des compétitions riches d’expériences
Dimitri – Installateur thermique
Voir le témoignage
La construction, des métiers complémentaires
Antoine – Charpentier couvreur
Voir le témoignage
Restaurer notre patrimoine
Alice – Peintre décoratrice
Voir le témoignage

Quentin a toujours voulu être plombier-chauffagiste.

C’est pourquoi il a choisi de se former par l’apprentissage au métier d’installateur sanitaire. Mais il ne compte pas s’arrêter là et envisage même de créer, un jour,  sa propre société. 

Ce qu’il aime dans son métier ? Travailler de ses mains et voir un résultat dont il peut être fier. La diversité des missions lui permettent de ne jamais s’ennuyer. Exerçant un métier au cœur des besoins liés à la transition énergétique, il peut envisager l’avenir sereinement. On aura toujours besoin de lui !

Comment es-tu devenu plombier-chauffagiste ?

Depuis tout petit, j’ai toujours dit : « Je voudrais faire plombier-chauffagiste. »  Et puis en travaillant de ses mains, on est fier d’avoir fait une petite œuvre.  

Quand j’ai commencé ce métier, j’ai préféré faire de l’apprentissage pour percevoir un salaire et apprendre la théorie et la pratique. Maintenant, je suis en bac pro TISEC, c’est-à-dire technicien en installation des systèmes énergétiques et climatiques.

Pourquoi avoir choisi de poursuivre ta formation ? Cela te permet-il de mieux répondre à l’évolution des demandes ? 

Oui, ce diplôme va compléter ma formation parce qu’il y a des « nouveautés » que l’on apprend à installer : des pompes à chaleur, des clims…  Avec le réchauffement climatique, il va y en avoir de plus en plus besoin. Les clients sont demandeurs. Il y a les offres de l’État… Du coup, on est souvent appelés pour poser des pompes à chaleur.

Quels sont tes objectifs professionnels pour la suite ? 

Après mes études, je compte continuer deux, trois ans dans la société dans laquelle je travaille. Et puis, si je peux, un jour, je voudrais créer ma société.

Un dernier mot pour les jeunes intéressés par l’apprentissage dans le bâtiment ?

Si vous voulez faire de l’apprentissage, faites-le, foncez. Moi, je vous le conseille.
Chaque jour est différent, ce n’est jamais la même chose !

ENVIE DE DEVENIR
INSTALLATEUR SANITAIRE ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

En peinture, des solutions innovantes pour l’environnement
Pierrick – Peintre décorateur
Voir le témoignage
Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
Restaurer notre patrimoine
Alice – Peintre décoratrice
Voir le témoignage

Entre théorie et pratique, Antoine a alterné formations et expériences professionnelles pour développer un savoir-faire précis en charpente, mais aussi en couverture.

Après une formation de charpentier, Antoine a su s’adapter aux besoins des clients, en suivant une formation complémentaire de couvreur. Cela lui permet de s’occuper aujourd’hui des chantiers dans leur globalité pour sa plus grande satisfaction et celle de ses clients !

COMMENT S’EST PASSÉ LE DÉBUT DE TON PARCOURS POUR APPRENDRE LE MÉTIER DE CHARPENTIER BOIS ?

Au début, j’ai commencé par un bac professionnel pour avoir une vue globale des chantiers et du travail dans le bâtiment. Mais je voulais avoir une vision plus précise du métier, alors j’ai continué par un CAP et un BP charpente en apprentissage, ce qui fait que j’ai vraiment vu la théorie et la technique à l’état pur.

POURQUOI AVOIR ÉGALEMENT SUIVI UNE FORMATION DE COUVREUR ?

Notre métier de charpentier évolue de plus en plus et on est maintenant amené à couvrir les charpentes que l’on pose. C’est pour cela que j’ai voulu faire un complément de formation en couverture zinguerie. J’ai passé un CAP, également en apprentissage, pour pouvoir vraiment m’occuper des chantiers de A à Z. Cela permet aussi aux clients de trouver un seul artisan qui s’occupe aussi de la couverture ! 

SELON TOI, QUELLE EST LA MEILLEURE MANIÈRE DE SE FORMER AUX MÉTIERS DE LA CONSTRUCTION ?

Si l’on veut connaître un peu son métier, il faut avoir de l’expérience. Et pour avoir de l’expérience, il faut passer par le terrain. Peut-être qu’au début, vous ferez des choses assez basiques, mais il faut commencer par là… Tout le monde y passe. Et c’est comme ça qu’après, on peut gravir les échelons et arriver à quelque chose de concret. L’apprentissage, c’est pour moi la meilleure manière de commencer ce métier !

ENVIE DE DEVENIR
CHARPENTIER BOIS ?

Missions, formations, évolutions…

ENVIE DE DEVENIR COUVREUR ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

De l’innovation dans tous les domaines
Violette – Serrurière-métallière
Voir le témoignage
Des nouveaux challenges au quotidien
Valentin – Électricien
Voir le témoignage
L’apprentissage, voie royale pour se former
Antoine – Couvreur
Voir le témoignage

Amateur de design, Antonin concrétise sa passion grâce à son métier de plâtrier-plaquiste. Et quelle satisfaction quand il voit les réactions de ses clients ! 

Son savoir-faire, Antonin l’a acquis sur le terrain lors de sa formation en apprentissage. Être au contact de professionnels chevronnés et des clients, il n’y a pas de meilleure expérience !

Qu’est-ce qui te plaît dans le métier de plâtrier-plaquiste ? 

Dans ce métier, j’aime bien tout ce qui concerne la précision, le design…  Par exemple, les cloisons arrondies, que l’on ne voit pas souvent.  On fait cela chez les particuliers, on voit la réaction du client quand il revient sur le chantier, et qu’il a les yeux qui brillent. C’est vraiment super.

Es-tu satisfait de ton apprentissage dans le secteur du bâtiment ? 

Je suis vraiment content d’avoir fait un apprentissage, car cela m’a permis d’avoir un diplôme tout en travaillant en entreprise. J’ai acquis une expérience professionnelle sur le chantier et avec les clients Je suis maintenant autonome et j’en suis très fier. C’est vraiment une super expérience. Il y a beaucoup de monde autour de nous pour nous encadrer et pour nous aider.

Je n’ai qu’une chose à vous dire, c’est allez-y, c’est super.

ENVIE DE DEVENIR
PLÂTRIER-PLAQUISTE ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Des nouveaux challenges au quotidien
Valentin – Électricien
Voir le témoignage
Chef d’entreprise à moins de 30 ans
Sébastien – Installateur thermique
Voir le témoignage
Un métier au service de tous
Yohan – Travaux publics
Voir le témoignage

Évoluer en hauteur, Souleymane adore ça ! Passionné d’escalade, le métier de couvreur est vite devenu pour lui une évidence.

Au quotidien, dans son métier de couvreur, Souleymane retrouve les sensations qu’il aime tant lorsqu’il pratique sa passion ! Également sensible à l’écologie, il peut concrétiser son engagement en tant que couvreur, en installant par exemple des toitures végétalisées.

Comment ta passion se retrouve dans le métier de couvreur ?

Ma passion, c’est l’escalade et quand j’ai commencé la couverture, je me suis rendu compte que je la retrouvais dans mon métier parce qu’on est toujours en hauteur et attaché. Ce qui fait que j’aime ce métier. Je me régale.

Qu’est-ce qui te plait dans le métier de couvreur ?

Aujourd’hui, en étant couvreur, je peux aussi mettre en place des toitures « écologiques », des toitures végétalisées par exemple. C’est quelque chose qui me plaît, parce que cela touche à l’écologie.

Quel conseil donnerais-tu aux jeunes qui veulent devenir un professionnel de la construction en se formant par l’apprentissage ?

Faites de l’apprentissage, c’est important parce qu’avec l’apprentissage, vous suivrez à la fois des cours d’enseignement général, mais vous allez aussi acquérir des savoir-faire nécessaires à votre vie professionnelle.

 

ENVIE DE DEVENIR
COUVREUR ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier utile et concret
Alexis – Charpentier métallique
Voir le témoignage
La construction, des métiers complémentaires
Antoine – Charpentier couvreur
Voir le témoignage
La construction dans l’air du temps
Quentin – Installateur sanitaire
Voir le témoignage

Après s’être essayé à différentes filières professionnelles, c’est finalement dans la construction que Rahimsky a trouvé sa place. La maçonnerie est plus qu’un métier : c’est une passion !

Ce qu’il préfère, c’est le sentiment d’utilité que lui procure son travail et les liens qu’il tisse au fil de ses journées : des liens avec les équipes mais aussi avec les clients !

Quel est ton parcours de formation ?

Cette année, je suis en CAP en première année. Je finis mon CAP l’année prochaine et je compte poursuivre après.J’ai fait des stages un peu partout, dans plusieurs domaines. Et au final, je suis arrivé en maçonnerie.

La maçonnerie, c’est un truc qui me plaît. Quand tu regardes le travail que tu as fait, cela te donne encore envie de le faire pour d’autres après.

Qu’est-ce qui te motive dans ton métier de maçon ?

Ce que je fais dans ce métier me rend fier. Le groupe et l’ambiance sur le chantier me donnent envie d’avancer. Chaque matin, quand je me réveille, je me dis « il y a les autres qui m’attendent, ils ont besoin de moi ». Je me sens utile dans la vie.

Et c’est ce qui me plaît encore plus dans ce métier. Parce qu’à chaque fois qu’il y a un ouvrier qui vient, on arrive toujours à bien s’entendre, des liens se créent entre nous. Ce que j’aime le plus, c’est de voir le travail fini et le plaisir que cela fait au client.

 

ENVIE DE DEVENIR
MAÇON ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage
De l’innovation dans tous les domaines
Violette – Serrurière-métallière
Voir le témoignage
Des compétitions riches d’expériences
Dimitri – Installateur thermique
Voir le témoignage

Meilleur Apprenti de France, médaillé d’or aux finales nationales de la WorldSkills Competition et médaillé d’excellence à la WorldSkills Competition Kazan 2019, Dimitri est un champion de la construction !

Grâce à sa formation en apprentissage chez les Compagnons du Devoir, avec lesquels il a sillonné la France, et aux nombreuses compétitions qui lui ont forgé un mental d’acier, Dimitri, installateur thermique, a déjà une solide expérience. Cela lui a permis de devenir chef d’équipe en seulement cinq ans.

Comment en es-tu arrivé au métier d’installateur thermique ?

J’ai découvert mon métier de plombier-chauffagiste lors d’un stage de troisième que j’avais choisi presque par hasard. Et ça m’a directement plu, du coup, je suis parti dans cette voie et j’ai décidé de faire un CAP en apprentissage chez les Compagnons du Devoir.

Comment as-tu perfectionné ta technique ?

Lors de mon CAP, j’ai fait le concours du Meilleur Apprenti de France, où j’ai été médaillé d’Or national. En sortant de CAP, on m’a proposé de m’inscrire aux WorldSkills. Je suis champion de France WorldSkills en plomberie chauffage et 8ᵉ mondial.

Durant mes préparations aux WorldSkills, j’ai été suivi par trois anciens compétiteurs et des coachs métier qui m’ont apporté leur expérience et leurs techniques de travail. Cela m’a permis de gagner en rapidité et en agilité sur mon travail au quotidien. Je n’en retiens que du positif. Et je recommande à tous les jeunes de s’inscrire.

Comment as-tu évolué dans ton métier d’installateur thermique ?

Ce qui est bien dans le BTP, c’est que l’on peut avoir une évolution très rapide. Si on se donne les moyens, on peut évoluer très vite. Cela a été mon cas. Je suis passé d’apprenti à chef de chantier en quasiment cinq ans.

Quels conseils donnerais-tu aux jeunes qui veulent devenir installateur thermique par la voie de l’apprentissage ?

Foncez, faites de l’apprentissage, il y aura toujours du boulot. Et surtout, quand vous sortirez de l’apprentissage, vous aurez un diplôme et vous trouverez forcément une entreprise.

 

ENVIE DE DEVENIR
INSTALLATEUR THERMIQUE ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Restaurer notre patrimoine
Alice – Peintre décoratrice
Voir le témoignage
L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage
De l’innovation dans tous les domaines
Violette – Serrurière-métallière
Voir le témoignage

Les métiers de la construction ne sont pas réservés qu’aux hommes. Camille, apprentie en charpente, en est le meilleur exemple. 

Aujourd’hui en formation par apprentissage pour acquérir les compétences nécessaires à ce métier de charpentier, elle a trouvé sa voie et s’épanouit dans le secteur de la construction. Elle est convaincue que les femmes y ont toute leur place.

D’où te vient cet intérêt pour le métier de charpentier bois ?

Mon grand-père était charpentier et c’est un métier qui m’a toujours attirée et passionnée. Quand je le voyais toucher le bois, je trouvais ça vraiment impressionnant. Alors, j’ai décidé de faire un baccalauréat professionnel Technicien constructeur bois, que j’ai obtenu… Mais je ne voulais pas m’arrêter là, j’ai donc opté ensuite pour un brevet professionnel Charpentier bois en alternance en deux ans. 

Pourquoi avoir choisi l’apprentissage pour devenir charpentier bois ?

J’ai choisi l’apprentissage parce que je voulais entrer dans la vie active tout en continuant les études et commencer à gagner ma vie. Le fait de choisir de se former par l’apprentissage s’est tout de suite ouvert à moi. J’ai trouvé cela super intéressant.

Être une femme dans le bâtiment, c’est un challenge ? 

Je n’ai jamais eu de problème sur le fait d’être une femme. Au contraire, c’est un plus. C’est agréable de travailler avec une femme quand on a l’habitude d’être entre hommes. Il n’y a rien de mieux pour nous, les femmes, que de montrer que l’on est justement capable de trouver sa place dans ces métiers-là, que ce soit dans la charpente ou dans tous les corps de métiers du bâtiment.

Un dernier message pour celles et ceux qui hésitent encore à choisir l’apprentissage pour se former à un métier du bâtiment ? 

N’hésitez pas à venir en apprentissage !  Cela permet d’allier l’école et la vie sur le chantier, l’apprentissage du métier.  Il n’y a rien de mieux pour devenir charpentier ou charpentière. C’est accessible à tout le monde et c’est plus qu’intéressant.

ENVIE DE DEVENIR
CHARPENTIER BOIS ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier utile et concret
Alexis – Charpentier métallique
Voir le témoignage
L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage
Un métier au service de tous
Yohan – Travaux publics
Voir le témoignage

Diversité et utilité sont les maîtres-mots d’Alexis, charpentier métallique.

La charpente métallique, on la retrouve partout dans la vie quotidienne, et cela demande une grande précision ! Exercer un métier utile, concret, toujours différent, voilà ce qui passionne Alexis.

D’où te vient cet intérêt pour le métier de charpentier métallique ? 

J’ai fait un CAP, un BAC PRO et un BTS en chaudronnerie, parce que mon grand-père était chaudronnier. Néanmoins, mon patron s’est vite rendu compte que j’étais plus intéressé par la charpente métallique que la chaudronnerie et à la fin de mon apprentissage, il m’a proposé un poste en CDI, que j’ai accepté. 

Qu’est-ce qui te plaît dans ton métier ? 

Ce que j’aime dans mon métier, c’est que les missions sont variées. Je ne fais jamais la même chose et chaque jour est différent. Je fais des découpes, je soude, je perce. On pourrait croire que c’est juste des coups de marteau, mais c’est vraiment précis et tout doit être au millimètre près, nous n’avons pas le droit à l’erreur. 

J’aime aussi travailler le métal parce qu’il y a des manières différentes de le travailler en fonction de la chauffe et de la frappe. Par exemple, pour éviter qu’une pièce se déforme, tout se passe au moment de la soudure et notamment dans la vitesse et l’angle de la soudure. 

Que fait un charpentier métallique ? 

On ne s’en rend pas forcément compte, mais la charpente métallique est vraiment partout, dans les parcs, les passerelles, les bâtiments, les maisons. Si les charpentiers métalliques n’étaient pas là, il n’y aurait pas grand-chose qui serait en place ! J’avais besoin de ce côté concret et de sentir que c’est un travail utile.

As-tu un message à faire passer aux jeunes intéressés par les métiers du bâtiment et des travaux publics ?

N’hésitez pas, lancez-vous dans l’apprentissage, car pour moi, cela a été bénéfique !

ENVIE DE DEVENIR
CHARPENTIER MÉTALLIQUE ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
Le goût du travail bien fait
Antonin – Plâtrier-plaquiste
Voir le témoignage
De l’innovation dans tous les domaines
Violette – Serrurière-métallière
Voir le témoignage

Pour Mamadou, l’apprentissage est le meilleur moyen de se former à un métier

Ce qui séduit Mamadou dans l’apprentissage, c’est de pouvoir côtoyer sur les chantiers des professionnels expérimentés qui souhaitent transmettre leur savoir-faire professionnel. Titulaire d’un CAP et en préparation d’un brevet professionnel (BP), il a envie un jour de devenir chef et de gérer sa propre équipe.

Comment as-tu découvert le métier de maçon ?

J’ai découvert la maçonnerie lorsque je suis arrivé en France. Je ne savais pas comment monter un mur en parpaing, je ne savais pas comment faire de l’enduit, je ne savais rien. Quand j’ai fait mon stage de maçonnerie, les profs m’ont encouragé et m’ont dit que j’étais doué pour ça…

Qu’est-ce qui t’a plu dans l’apprentissage ?

L’apprentissage, cela te permet d’avoir les bases. La première année, tu vas à l’école, tu vas sur les chantiers. À l’école, tu apprends, mais sur les chantiers, tu apprends encore mieux parce que tu manipules les outils, tu réalises les travaux.

Il y a des gens qui sont là, qui sont expérimentés, qui veulent que tu sois comme eux après.

Quels sont tes projets de carrière en tant que maçon ?

Là, je viens de terminer mon CAP et j’ai commencé ma première année de BP. Si je continue en BP, je voudrais bien devenir chef un jour. J’ai envie de diriger une équipe, de me faire confiance.

Quels conseils donnerais-tu aux jeunes qui veulent rejoindre le secteur de la construction ?

N’hésitez pas à venir en apprentissage si vous voulez travailler dans le BTP, on vous apprend le métier. En plus, vous êtes payés. Je vous encourage tous à venir, nous rejoindre dans les métiers du bâtiment.

ENVIE DE DEVENIR
MAÇON ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Tout le monde a sa place
Camille – Charpentière bois
Voir le témoignage
Des compétitions riches d’expériences
Dimitri – Installateur thermique
Voir le témoignage
La construction dans l’air du temps
Quentin – Installateur sanitaire
Voir le témoignage

Passionné par la technologie, Valentin a fait de sa passion un métier en devenant électricien.

Diplômé d’un CAP, d’un BP et d’un bac pro Électricien, il est aujourd’hui en formation en BTS (Brevet de technicien supérieur) Électrotechnique… Son parcours en apprentissage est un bel exemple de poursuite de formation qui lui a permis d’acquérir des compétences complémentaires afin de devenir aujourd’hui un professionnel très qualifié.

Valentin est aussi meilleur apprenti de France et membre de l’Équipe de France des Métiers, qu’il a rejoint lors de la finale internationale de la WorldSkills Competition à Kazan en 2019. Grâce à sa participation à ces différents concours, il s’est fixé constamment des objectifs ambitieux à atteindre. Sortir de sa zone de confort lui a aussi permis d’enrichir son parcours professionnel et ses savoir-faire métier.

D’où te vient cet intérêt pour le métier d’électricien ? 

J’ai toujours été passionné de technologie, c’est pour cela que j’ai voulu devenir électricien. En 2013, je suis rentré en alternance pour faire un CAP d’électricien. J’ai continué sur un brevet professionnel, un bac pro et je suis maintenant en BTS. Je retrouve ma passion de départ dans le métier. Je dirais même plus : mon métier d’électricien, c’est vraiment ma passion.

Peux-tu nous en dire plus sur les compétitions auxquelles tu as participé ?

J’ai commencé mon apprentissage pour devenir électricien il y a huit ans et, en 2015, j’ai voulu me challenger en me lançant dans le concours des Meilleurs Apprentis de France. J’ai eu la chance de recevoir le titre en 2015. Suite à ce concours des Meilleurs Apprentis de France, j’ai voulu me challenger encore plus et me lancer dans une compétition beaucoup plus compliquée, qui est la compétition WorldSkills (Olympiades des métiers). J’ai intégré l’équipe de France il y a un an, et je suis allé à Kazan pour représenter mon pays, en tant qu’apprenti électricien. 

Que tires-tu de cette expérience des concours, vécue lors de ton apprentissage ? 

C’est une expérience très intéressante et très enrichissante. Elle m’a mis dans des situations d’inconfort, parfois extrêmes, qui m’ont énormément forgé et qui me servent au quotidien. Je m’en souviendrai toujours. Je conseille vraiment aux autres de se lancer dans ce type de concours et de compétition. Il ne faut pas hésiter à pousser les portes : c’est parfois derrière certaines portes difficiles à ouvrir que se cachent les plus merveilleuses des aventures.

ENVIE DE DEVENIR
ÉLECTRICIEN ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

La fierté d’exercer un métier utile à tous
Callum – Monteur de réseaux électriques
Voir le témoignage
Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
Des compétitions riches d’expériences
Dimitri – Installateur thermique
Voir le témoignage

Pour certains, travailler dans le bâtiment relève d’un rêve d’enfant, comme pour Virginie Jacquemin, directrice de travaux.

Grâce à son caractère bien trempé et à son exigence vis-à-vis des autres mais surtout d’elle-même, elle a su se faire une place de premier plan au sein de son entreprise.

Elle s’est imposée comme une experte de sa profession. Ainsi, son message est clair : homme ou femme, qu’importe ! La construction est faite pour toute personne qui souhaiterait tenter l’aventure !

ENVIE DE TRAVAILLER
DANS LE BÂTIMENT ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Des compétitions riches d’expériences
Dimitri – Installateur thermique
Voir le témoignage
De la construction à l’entretien des réseaux de canalisations
Thomas – Constructeur de réseaux de canalisations
Voir le témoignage
Un métier au service de tous
Yohan – Travaux publics
Voir le témoignage

David, formateur en serrurerie-métallerie en CFA. 

Il nous parle de l’importance de la transmission et de la fierté qu’il ressent à voir les apprentis qu’il forme réaliser leurs premiers ouvrages, réussir pour la première fois les gestes métier après de nombreux essais et, enfin, prendre confiance tant sur le plan technique que personnel.

COMMENT EN ES-TU ARRIVÉ À DEVENIR FORMATEUR ?

J’ai appris le métier parce qu’il y avait des gens qui étaient là pour m’apprendre ! 

C’est pour ça qu’au bout d’un moment, j’ai voulu reprendre le flambeau et transmettre le savoir pour que les jeunes puissent apprendre le métier et arriver sur le marché du travail avec des bonnes bases.

Cela n’est pas toujours facile, car j’ai mon savoir professionnel, mais le transmettre c’est encore autre chose. Comme on dit, le savoir-faire et le faire-savoir c’est deux choses totalement différentes !

QU’EST-CE QUI TE PLAIT DANS TON MÉTIER DE FORMATEUR EN SERRURERIE-MÉTALLERIE ?

J’adore mon quotidien. Le soir, quand je rentre et que j’ai appris quelque chose à des jeunes et qu’ils sont contents, je suis vraiment satisfait de ma journée.

Il y a toujours une fierté chez les jeunes de fabriquer. Dire « c’est moi qui l’ai fait » : c’est quelque chose de valorisant. 

Ce que je préfère avec eux, c’est quand ils s’aperçoivent qu’ils sont capables de faire quelque chose. Ça donne envie de leur apprendre toujours plus. Quand ils ont une idée en tête et qu’ils arrivent à le fabriquer, c’est quelque chose d’extraordinaire. Ils se dépassent à chaque fois. Ils ont l’impression à chaque fois de franchir des limites, d’avancer de plus en plus.

En tant que formateur, voir des jeunes qui ont les yeux qui brillent quand ils arrivent à faire quelque chose, c’est quelque chose d’extraordinaire.

ENVIE DE DEVENIR
SERRURIER-MÉTALLIER ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier utile et concret
Alexis – Charpentier métallique
Voir le témoignage
La construction, des métiers complémentaires
Antoine – Charpentier couvreur
Voir le témoignage
Restaurer notre patrimoine
Alice – Peintre décoratrice
Voir le témoignage

Juliane, architecte de formation, se sentait parfois un peu déconnectée de la réalisation des bâtiments qu’elle concevait.

Grâce à sa formation en menuiserie, elle a pu faire le lien entre ces deux étapes et dispose maintenant d’une expertise globale, de la conception à la réalisation.

Comment es-tu passée de l’architecture à la menuiserie ? 

J’ai fait un bac ES, donc un bac général, puis quatre ans d’architecture, mais le côté manuel me manquait beaucoup. J’ai voulu compléter ma formation, comprendre ce que je dessinais, le fabriquer. C’est comme cela que j’en suis venue à faire un CAP en menuiserie. 

Qu’est-ce que ton double cursus t’a apporté ? 

Je pense qu’avoir un double cursus architecture et menuiserie est super intéressant parce que l’on peut parler à des architectes et à des clients en ayant les deux points de vue. Sur les chantiers, cela permet d’interagir à la fois avec des menuisiers et des architectes en sachant de quoi on parle.

Lorsque l’on dessine, on ne se rend pas toujours compte du résultat, ce sont juste des traits. On peut ensuite les passer en volume grâce à des logiciels et se dire : « je suis capable de fabriquer ce que je dessine », c’est un plus ! 

Qu’est-ce qui te plaît dans ton métier de menuisier ?

Ce qui m’a plu dans la menuiserie, c’est le dessin à la main : faire des épures, visualiser les volumes et se dire « maintenant que j’ai fait ça, c’est à moi de faire en sorte que la pièce se monte ». C’est aussi partir d’un bout de bois, le travailler, l’assembler à d’autres morceaux et, à la fin de la journée, se dire « j’ai avancé, je vois le projet prendre forme ».

ENVIE DE DEVENIR
MENUISIER FABRICANT ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier utile et concret
Alexis – Charpentier métallique
Voir le témoignage
La construction, des métiers complémentaires
Antoine – Charpentier couvreur
Voir le témoignage
Des nouveaux challenges au quotidien
Valentin – Électricien
Voir le témoignage

Dessin et patrimoine historique, deux passions qu’Alice exerce au quotidien grâce à son métier de peintre décoratrice !

Après un CAP, un brevet professionnel peintre applicateur de revêtements et une mention complémentaire en peinture décoration en apprentissage, Alice a choisi de poursuivre sa formation, toujours en apprentissage, pour développer de nouvelles compétences en restauration du patrimoine. Elle souhaite, grâce à son métier, préserver notre patrimoine culturel.

QUEL EST TON PARCOURS POUR DEVENIR PEINTRE DÉCORATRICE ?

Depuis toute petite, je dessinais avec ma sœur. J’ai donc ce goût pour le dessin et le bricolage depuis longtemps et je me suis lancée dans le métier de peintre, car il me permet d’allier ces deux passions. 

C’est comme ça que je me suis lancée dans un CAP pour être peintre décoratrice en deux ans et en apprentissage. Ensuite, je suis partie en brevet professionnel en apprentissage également pendant deux ans. Et là, je sors d’une mention complémentaire en un an, en décor.

L’année prochaine, je souhaite postuler pour une école dans la restauration du patrimoine, en apprentissage également et pendant un an.

POURQUOI AVOIR CHOISI LA RESTAURATION DE PATRIMOINE ?

Je viens de la Loire, donc d’une région dont les châteaux sont très connus ! Depuis toute petite, j’ai toujours été à droite et à gauche, dans les châteaux et lieux du patrimoine, et ça m’a toujours plu. 

C’est vrai que dans mon métier, la restauration est un aspect peu connu. Ça va être tout ce qui est rénovation de vieilles fresques, de peintures anciennes, dans des églises par exemple, ou dans les châteaux.

Pour les restaurer, souvent, on reprend des techniques anciennes. Il y en a énormément que je ne connais pas encore et c’est ce que je veux apprendre pour respecter les matériaux qui existent déjà et rester dans l’ancien, mais restauré !

QUE CONSEILLERAIS-TU AUX JEUNES QUI VOUDRAIENT DEVENIR PEINTRE DÉCORATEUR ?

Je leur conseillerais de choisir l’apprentissage qui permet d’allier technique et théorie, car pour plus tard, c’est un gros plus d’avoir cette expérience.

Donc n’hésitez pas, foncez !

ENVIE DE DEVENIR
PEINTRE DÉCORATEUR ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

La construction dans l’air du temps
Quentin – Installateur sanitaire
Voir le témoignage
Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
Un métier au service de tous
Yohan – Travaux publics
Voir le témoignage

La construction est un secteur qui ne connaît pas la crise !

C’est un atout du secteur qui permet d’en rassurer beaucoup, comme John, qui se forme au métier d’installateur sanitaire. Et en plus, il s’est découvert une véritable passion pour ce métier.

Qu’est-ce qui te plaît dans ton métier d’installateur sanitaire ?

J’aime le métier de plombier parce que c’est utile à tous. J’aime aussi le contact avec les clients ; quand le client est content, moi aussi je suis content. Et en plus en étant formé au métier par l’apprentissage, je gagne de l’argent. Tout cela me plaît, j’ai envie de travailler !

Est-ce que le métier d’installateur sanitaire est un métier polyvalent ?

Avec mon patron, on a beaucoup de travail. On fait beaucoup de choses.  Parce que même si tu fais la plomberie, il y a des fois : tu mélanges le ciment, tu bouches les trous… J’aime ça parce que j’ai tout le temps du travail, je ne chôme pas !

ENVIE DE DEVENIR
INSTALLATEUR SANITAIRE ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
Restaurer notre patrimoine
Alice – Peintre décoratrice
Voir le témoignage
L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage

La construction est une affaire de professionnels, qui se forment ! Cédric, formateur en CFA, nous parle de l’importance de la formation et de la transmission des savoirs.

Se former, c’est acquérir des compétences techniques, un savoir-faire mais aussi grandir en tant que citoyen. Bien plus que former à des méthodes et gestes, être formateur revient avant tout à transmettre sa passion du métier et les bons gestes, en aidant les jeunes à grandir et à se découvrir.

Comment t’est venue l’envie de transmettre ta passion ?

J’ai commencé ma carrière dans un grand groupe de travaux publics où je faisais toutes sortes de chantiers : voiries, poses de canalisations…

Malgré mon jeune âge à cette époque, j’étais le plus âgé sur le chantier et je me suis alors retrouvé dans ce rôle de formateur. Puis j’y ai pris goût grâce aux personnes que j’ai formées, parce qu’elles ont été très réceptives. C’est ce qui m’a motivé à m’orienter vers le métier de la formation.

Qu’est-ce qui te plaît dans ce métier de formateur ?

Dans la transmission, il y a à la fois le côté psychologique, philosophique et physique. On doit transmettre les bons gestes, mais aussi apprendre à avoir un bon raisonnement, une bonne philosophie, sur le chantier comme dans la vie.

Ce qui me plaît le plus dans le rôle de formateur, c’est de donner confiance à des jeunes gens qui sont parfois un peu cabossés par le système scolaire. Je vois arriver de jeunes adolescents et lorsqu’ils repartent, ce sont des hommes qui ont déjà une certaine expérience et des savoir-faire.  Ils sentent qu’ils ont eu un accompagnement et que maintenant, on leur donne l’opportunité de faire plus que ce qu’ils ont fait. J’essaye de transmettre mon savoir et surtout le plaisir que j’ai à faire ce métier et à évoluer dans ce domaine.

ENVIE DE DEVENIR
CONSTRUCTEUR DE RÉSEAUX
CANALISATIONS (CANALISATEUR) ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Des nouveaux challenges au quotidien
Valentin – Électricien
Voir le témoignage
Des compétitions riches d’expériences
Dimitri – Installateur thermique
Voir le témoignage
Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage

La construction est à l’image de la société : connectée et portée sur les nouvelles technologies. Nicolas, électricien, l’a bien compris !

Passionné d’innovation et de technologie depuis toujours, ce jeune chef d’entreprise propose à ses clients des solutions toujours plus innovantes : domotique, gestion de l’énergie… De nouvelles technologies et produits arrivent sans cesse sur le marché, permettant à Nicolas d’acquérir de nouveaux savoir-faire toujours plus techniques et de ne jamais arrêter d’évoluer.

Quel est ton parcours de créateur d’entreprise ? Comment cela se passe-t-il ?

Cela se passe très bien, puisque j’avais déjà des connaissances qui m’ont permis de travailler tout de suite. J’ai commencé toutes les démarches, j’ai fait les certifications qu’il fallait parce que dans le métier d’électricien, il y a beaucoup de formations à faire pour pouvoir s’inscrire à la Chambre des métiers.

Et as-tu beaucoup de chantiers à venir ?

Il y a une demande assez importante car on remet aux normes beaucoup de logements et il y a beaucoup de constructions qui se font. Et comme l’habitat est un poste de dépenses assez important chez les gens : on a du boulot !

L’innovation a-t-elle une place importante dans le métier d’électricien ?

J’ai toujours aimé tout ce qui est technologie et je suis toujours resté aux aguets de ce qui se faisait pour proposer à mes futurs clients des solutions domotiques pointues. Ce que j’aime dans l’électricité, c’est que l’on peut justement allier ce côté « innovation » tout en restant sur un métier manuel, parce que je suis quelqu’un de manuel à la base.

La domotique m’a permis d’ajouter à mon métier d’électricien ce côté innovant, le côté 2.0 nouvelle génération.

À quoi sert la domotique et est-ce un marché en pleine expansion ?

Grâce à la domotique, on gère mieux l’énergie et le confort de l’habitat. Il y a une forte demande et le marché est en expansion. Donc maintenant, effectivement, la domotique, c’est le passage obligé pour tous les électriciens.

ENVIE DE DEVENIR
ÉLECTRICIEN ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
Restaurer notre patrimoine
Alice – Peintre décoratrice
Voir le témoignage
Des nouveaux challenges au quotidien
Valentin – Électricien
Voir le témoignage

Sébastien est aujourd’hui un chef d’entreprise heureux.

De formation littéraire, il a commencé dans la construction pour payer ses études. Plus qu’un petit boulot, il a découvert un secteur riche et diversifié, dans lequel il s’épanouissait et en a finalement fait son métier.

Après plus de 25 ans dans le secteur, il encourage désormais les jeunes à suivre son exemple.

Quel est ton parcours professionnel ? 

J’ai commencé par des études littéraires et, pour payer mes études, j’ai travaillé dans le bâtiment en touchant un peu à tout. J’ai commencé par la soudure, puis j’ai fait un peu de charpente métallique et très vite, je me suis dirigé vers la maçonnerie. 

C’est un métier qui me plaisait, où j’ai pu obtenir des postes à responsabilités. Puis, j’ai gravi les échelons petit à petit, avec l’expérience et la confiance de mes employeurs.

Peut-on changer facilement de métier dans le secteur de la construction ? 

Dans le milieu de la construction, c’est très facile de passer d’un métier à l’autre car il y a beaucoup de demandes de main d’œuvre.  Avec de l’envie, de l’ouverture d’esprit, de la curiosité et au fil des rencontres, on arrive facilement à passer d’un métier à l’autre.

Quel conseil donnerais-tu à quelqu’un qui a envie de rejoindre le secteur du BTP ? 

Je conseillerais aux jeunes et aux moins jeunes qui veulent travailler dans ce domaine d’essayer plusieurs métiers pour trouver leur voie. J’applique ce conseil dans mon quotidien, puisque j’essaie de guider mes apprentis vers plusieurs corps d’état en les faisant passer d’un métier à l’autre afin qu’ils puissent choisir leur carrière.

Et la formation, c’est important. Dans nos métiers, sans formation, pas de relève et sans relève, pas de bâtiment !

ENVIE DE TRAVAILLER
DANS LE BÂTIMENT ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
La construction, des métiers complémentaires
Antoine – Charpentier couvreur
Voir le témoignage
L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage

Pour la construction, l’écologie et le développement durable, c’est du concret !

Pierrick, peintre décorateur, en est le témoin. Toujours à l’affût des innovations, il conseille à ses clients de nouveaux produits plus écologiques et participe ainsi activement à faire du secteur de la construction l’un des acteurs majeurs de la transition énergétique !

Isolation contre la déperdition de chaleur ou encore peintures dépolluantes, les solutions existent et ne demandent qu’à être mises en œuvre par les professionnels qualifiés et passionnés.

Dans le métier de peintre décorateur, quelles sont les innovations en faveur de l’environnement ?

C’est un métier où il y a toujours de nouveaux produits. Moi par exemple, j’ai fait le choix d’essayer d’utiliser des peintures dépolluantes car elles sont respectueuses de l’environnement. Elles ont un peu le même rôle qu’une plante verte : elle dépollue l’air ambiant.

C’est quelque chose qui touche beaucoup les clients, je ne pensais pas avoir autant de demandes mais tout le monde est concerné par l’environnement. Et l’écologie, cela intéresse un grand nombre de personnes.

Quel le rôle a le peintre-décorateur dans les économies d’énergie ?

Nous sommes amenés par exemple à réaliser des façades en isolation par l’extérieur : on vient appliquer une couche d’isolation par l’extérieur en polystyrène. Cela évite en rénovation d’isoler sa maison par l’intérieur.

ENVIE DE DEVENIR
PEINTRE DÉCORATEUR ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier au service de tous
Yohan – Travaux publics
Voir le témoignage
Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
Restaurer notre patrimoine
Alice – Peintre décoratrice
Voir le témoignage

À 18 ans, Caroline s’est formée au métier de carreleur-mosaïste par la voie de l’apprentissage et elle ne le regrette pas !

L’apprentissage lui a permis de mêler théorie et pratique et de bénéficier dès sa formation d’une expérience en entreprise, un avantage qui fait toute la différence pour trouver son premier emploi. Une fois l’ouvrage terminé, la satisfaction de ses clients la rend particulièrement fière, la preuve d’un choix de carrière réussi !

POURQUOI AS-TU CHOISI DE TE FORMER AU MÉTIER DE CARRELEUR PAR L’APPRENTISSAGE ?

Je n’aimais pas beaucoup l’école et j’avais besoin d’un métier manuel, parce que les cours ça ne me plaisait pas. Rester assise sur une chaise, c’était très compliqué. 

Donc j’ai voulu changer complètement de voie et partir en apprentissage.  

D’abord parce qu’on gagne de l’argent, et quand on est jeune et qu’on veut être indépendant de ses parents, c’est super important.  

Et puis, parce que quand on travaille dans une entreprise, on a de l’expérience. Et pour chercher du travail, c’est très pratique !

QU’EST-CE QUI TE REND FIÈRE DANS TON MÉTIER DE CARRELEUSE-MOSAÏSTE ?

Ce qui me rend particulièrement fière, c’est surtout le regard des clients quand on finit la pièce, la salle de bain et qu’ils disent « wow, c’est fini, c’est magnifique, il n’y a pas de crochet, les joints sont très beaux, très bien faits ». C’est vrai que le regard et les paroles des clients sont très importants. 

ENVIE DE DEVENIR
CARRELEUR-MOSAÏSTE ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
La construction, des métiers complémentaires
Antoine – Charpentier couvreur
Voir le témoignage
Un métier utile et concret
Alexis – Charpentier métallique
Voir le témoignage

Et la construction ne fait pas exception, bien au contraire, comme en témoigne Christian Royer, chef d’entreprise en maçonnerie et construction béton armé.  

Les innovations lui permettent de faciliter son travail tout en garantissant la santé et sécurité au travail des professionnels. L’innovation n’exclut pas pour autant la tradition.

Découvrez comment Christian Royer allie les technologies de pointe à son attachement aux matériaux traditionnels.

ENVIE DE DEVENIR
MAÇON ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

Un métier à la hauteur de sa passion
Souleymane – Couvreur
Voir le témoignage
Restaurer notre patrimoine
Alice – Peintre décoratrice
Voir le témoignage
L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage

Couvreur de formation, passionné par son métier, Antoine s’est pris au jeu de la compétition.
Et il a eu raison !

Champion de Picardie, champion des Hauts-de-France, champion de France et vice-champion d’Europe, Antoine porte fièrement les valeurs et savoir-faire de sa profession. Ces concours lui ont offert la chance de rencontrer des professionnels de tous horizons et de développer de nouvelles approches et techniques de son métier.

EN QUOI CONSISTE LE MÉTIER DE COUVREUR-ZINGUEUR ET QU’EST-CE QUI TE PLAIT DANS CE MÉTIER ?

J’ai fait un CAP couvreur-zingueur, une mention complémentaire zinguerie et un BP couvreur zingueur.

Le métier de couvreur, ça sert, dans un premier temps, à rendre une toiture étanche. On apprend aussi à se servir de plusieurs matériaux, notamment la tuile, l’ardoise, le zinc. 

C’est un métier manuel et très technique, qui s’apprend avec les années : il faut beaucoup d’années d’expérience pour réussir à être un bon zingueur. Construire des choses en métal m’a toujours fasciné et tous les jours, je me régale dans le métier. 

TU AS PARTICIPÉ À PLUSIEURS CONCOURS, QU’EST-CE QUE CELA T’AS APPORTÉ ?

En parallèle de ma formation en apprentissage, je me suis lancé dans des concours.

Les concours que j’ai faits, c’était par curiosité avant tout et j’ai vraiment accroché sur l’esprit compétitif. Ça m’a permis de gagner quatre titres : champion de Picardie, champion des Hauts-de-France, champion de France et vice-champion d’Europe des métiers.

Le titre de vice-champion d’Europe, c’est vraiment un titre que je savoure parce que c’était beaucoup d’acharnement, beaucoup d’entraînement.

Les concours, c’est vraiment un challenge. On acquiert beaucoup d’expérience en peu de temps et on pousse le métier dans ses limites. Alors oui, je me considère comme un artiste de la construction !

 

ENVIE DE DEVENIR
COUVREUR ?

Missions, formations, évolutions…

LES AUTRES TÉMOIGNAGES

L’apprentissage sur tous les terrains
Mamadou – Maçon
Voir le témoignage
Un métier au service de tous
Yohan – Travaux publics
Voir le témoignage
Des nouveaux challenges au quotidien
Valentin – Électricien
Voir le témoignage